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La subjectivité des marques

Tout d’abord, la subjectivité désigne le caractère de ce qui appartient au sujet, à l’individu seul. L’aspect physique est la première chose que nous remarquons quand nous rencontrons une personne. Les marques occupent une place importante au sein de la société actuelle. Chez les jeunes en particulier, le port de marques permet de montrer son appartenance à une classe sociale plus ou moins aisée, à se démarquer des autres ou au contraire à s’apparenter à un groupe. En effet une nouvelle culture de l’image est apparue grâce à la révolution industrielle et Mai 1968. Depuis celles-ci une passion pour les marques commerciales à envahit les jeunes français. Ainsi les adolescents cherchent à se ressembler dans le but d’appartenir à un groupe de pairs, cependant s’impose un double paradoxe entre conformité et anticonformisme.

 

Les marques peuvent donc être un indicateur d’aisance monétaire, un phénomène de mode… Par exemple une personne portant le tout nouveau modèle de baskets de marque Nike sera vue différemment de certains groupes qu’une personne ayant une paire de chaussures bon marché. Le port de marques étant assimilé pour un grand nombre de jeunes (sans pour autant faire d’amalgames) à une classe sociale plus élevée, à une éducation plus « cool » et rendant donc par ailleurs la personne plus attirante voire sûrement plus intéressante et sympathique d’après leur première impression. La subjectivité des marques peut donc être un facteur d’exclusion pour les jeunes qui ne portent pas de marques.

        Tout d’abord, la subjectivité désigne le caractère de ce qui appartient au sujet, à l’individu seul. L’aspect physique est la première chose que nous remarquons quand nous rencontrons une personne. D'après Laurence Czuba, une psychologue clinicienne,  le « look » est souvent primordial chez les jeunes. Il es même indispensable selon eux si l’on veut bien s’intégrer. Les marques occupent donc une place importante au sein de la société actuelle. Chez les jeunes en particulier, le port de marques permet de montrer son appartenance à une classe sociale plus ou moins aisée, à attirer l'attention, à se démarquer des autres ou au contraire à s’apparenter à un groupe car pour s’intégrer, il faut se faire accepter.

        En effet une nouvelle culture de l’image est apparue grâce à l'apparition ders grands magasins au début du XIXème siècle. Depuis, une passion pour les marques commerciales à envahit les jeunes français. Ainsi les adolescents en sortant du cocon familial subissent une forme de pression sociale et cherchent à tout prix à se montrer habillés avec des vêtements tendance de marques. Les réseaux sociaux en particulier Instagram encourageant indirectement beaucoup les jeunes à la consommation notamment dans l'habillage de marques par le biais des photos des mannequins, des stars...

       

        Les marques peuvent donc être un indicateur d’aisance monétaire, un phénomène de mode… Par exemple, les chaussures sont LA principale pièce de vêtement qui doit être siglée d’après 96 % des garçons et 76 % des filles (d'après un sondage mené par une blogueuse sur le réseau social Facebook) ainsi, une personne portant le tout nouveau modèle de baskets de marque Nike sera vue différemment de certains groupes qu’une personne ayant une paire de chaussures bon marché. 62 % des collégiens connaissent un jeune rejeté car il porte pas de vêtements de marques. Le port de marques étant assimilé pour un grand nombre de jeunes (sans pour autant faire d’amalgames) à une classe sociale plus élevée, à une éducation plus « cool » et rendant donc par ailleurs la personne plus attirante voire sûrement plus intéressante et sympathique d’après leur première impression. Nous pouvons donc en déduire que la subjectivité des marques peut donc être un facteur d’exclusion pour les jeunes qui ne portent pas de marques.

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